La crise migratoire est avant tout politique: elle est le résultat des conflits et des guerres produisant des flux importants de réfugiés, combinée aux fermetures de frontières.
1- la création d’emplois:
La plupart des candidats à l’émigration cherchent à partir en raison des conditions difficiles qui règnent dans leur pays. Dans la plupart des pays d’émigration, les emplois sont rares ou les salaires trop faibles, ce qui amène des habitants à tenter leur chance ailleurs. Il est donc possible, en temps de paix, d’éviter l’émigration en créant des emplois sur place.
De nombreux pays africains ne sont pas parvenus à créer des emplois au cours des dernières décennies, malgré les politiques d’ajustement structurel préconisées par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Le nombre d’offres d’emploi et le niveau des revenus réels ont au contraire diminué.
2- des politiques plus justes
Le plus difficile reste l’élaboration de politiques qui conviennent à la fois aux pays industriels et aux pays en développement et qui sont susceptibles de relancer la croissance économique mondiale. Malheureusement dans les pays sous développés, les riches s’enrichissent, les pauvres s’appauvrissent. Car le système mis en place ne favorise que ceux qui ont déjà les moyens. Il est donc important de remédier a celà afin de permettre à toute la population d’espérer un monde meilleur.
C’est peut être deux solutions mais ces deux solutions sont un grand pas vers la fin de l’imigration clandestine.